A LOmbre Des Maris Série 2 Huitième Partie : Le Mariage De Rayan
Depuis que je lai rencontré dans mon bureau, en compagnie de sa maman venue me
remercier du coup de main que javais donné à son fils pour lui décrocher un stage
dofficier mécanicien sur un bateau du pavillon national, je navais plus revu Rayan,
le fils de Farida. Je ne me rappelais que de la beauté - un peu féminine - du garçon,
qui devait avoir vingt deux ans, en ce moment-là. Je me rappelais aussi la réflexion
que je métais faite en le voyant entrer et sortir de mon bureau. Je me disais quil
nétait pas fait pour une vie de marin et quil aurait fort à faire pour veiller sur
son intégrité physique. Il était trop tendre pour pouvoir résister aux passions
sexuelles quil ne manquerait pas de soulever pendant les longues traversées entre
hommes sevrés de femmes. Mais je nen avais rien soufflé au garçon ; ni, bien entendu
à sa maman. Je me disais quil savait dans quelle galère (sans jeu de mot) il allait
embarquer.
Et puis, deux années durant javais fréquenté très intimement sa maman, avec dès le
début lassentiment de son père, mais, lui, je lavais plus jamais rencontré. Chaque
fois quil revenait dune traversée, il reprenait sa chambre dans la maison de ses
parents. Farida et moi, ne voulant pas que Rayan apprenne notre liaison, ne nous
retrouvions plus que chez moi pour continuer de nous aimer et de faire lamour. Elle
ne me parlait presque jamais de son fils, sauf pour mannoncer son retour. Même Salah,
le mari de Farida et le père de Rayan, ne me parlait jamais de lui. Et quand elle
mannonça quelle préparait le mariage de son fils, je tombais presque des nues. Non
pas que jy vis un quelconque problème ; mais surtout parce que pour une fois, ce fils
existait vraiment. Il avait de limportance. Deux années durant, il nétait quun
prénom et
une chambre, dans la maison.
plus, un homme qui allait se marier.
Je naccordais pas plus dimportance à lévènement. Dautant plus quau même moment se
préparait le mariage de la nièce de mon ex-épouse et la fille dun ami très proche.
Cet ami Hamid qui était aussi le frère de Fadhéla, mon grand amour de jeunesse,
minvita au mariage de sa fille Wissam, que javais connue , mais que javais
perdue de vue depuis très longtemps, dautant plus que ses parents sétaient séparés
depuis des années. Jallais donc à la fête organisée par mon ami Hamid et son ex-
épouse (qui était aussi mon ex-belle-sur), muni dun immense bouquet de fleur. Je fus
reçu les bras ouverts par toute la famille de la fille. Je fis même la rencontre de
Fadhéla, mon amour de jeunesse, engoncée dans son hidjab noir et entourée dune
ribambelle ds qui semblaient être les siens. Elle navait rien gardée de sa
beauté dantan : de ce que je pouvais apercevoir à travers ses affreux habits
islamiques, elle avait beaucoup maigri et ses yeux, jadis éclatants, étaient devenus
très tristes. Elle avait les joues creuses, comme si elle avait perdu ses molaires et
prémolaires qui habituellement donnaient de la rondeur aux joues.
De loin, elle me fit un petit salut dun mouvement de tête, en regardant furtivement,
à droite et à gauche, sassurant que personne ne lavait vue me saluer. Jappris, de
la bouche même de son frère, avec lequel je navais jamais encore parlé delle, que
son mari était du genre très jaloux et que de surcroit, il était devenu, depuis la
montée irrésistible du mouvement islamiste, un adepte de la femme au foyer et de sa
soumission totale aux ordres du mari. Il la terrorisait littéralement. Jen avais
éprouvé un peu de tristesse, mais je nen fus pas pour autant malheureux pour elle. Je
lui en avais beaucoup voulu davoir choisi, très jeune, de se marier avec un homme qui
avait déjà une situation sociale, plutôt que de mattendre, moi lamour de sa vie
(disait-elle), le temps de faire mon service militaire et de prendre un travail.
Jétais étonné dêtre aussi peu ému. Mais je nimaginais pas que la véritable émotion
mattendait quelques moments plus tard.
Jétais pris dans une discussion à bâtons rompus avec quelques amis, quand Hamid, vint
nous rejoindre pour mannoncer que son ex-épouse exigeait ma présence auprès delle et
de sa fille, Wissam, la nouvelle mariée. Je trouvais cela assez normal, vu que javais
gardé avec mon ex-belle-sur de bonnes relations. Je suivis donc Hamid, jusque dans la
pièce de la salle des fêtes réservée à la future mariée et me trouvai subitement
renvoyé plus dune vingtaine dannées en arrière. Javais devant les yeux Fadhéla. La
Fadhéla jeune et belle, dont jétais fou amoureux, il y avait maintenant plus de vingt
cinq ans. Si je navais croisé la vraie Fadhéla, quelques temps auparavant, jaurais
certainement cru quun magicien avait contracté le temps, et que nous étions revenu au
jour où Fadhéla était dans le même situation de nouvelle mariée, prête à quitter le
foyer paternel pour rejoindre celui de son mari.
Wissam était le sosie de Fadhéla ! Aussi belle ! Aussi petite de taille ! Aussi
métissée ! Ressemblant à une indienne et jouant de cette ressemblance comme Fadhéla,
jadis. Jétais incapable de dire quoi que ce soit et dempêcher mon cur de battre la
chamade. Je ressentis la même frustration quen ce temps là. Presque la même
tristesse. Comme si cette fille qui allait soffrir à son mari, mavait été enlevée à
moi. Je crois que cette situation avait duré un long moment, jusquà ce que Hamid,
vint me secouer brutalement pour me réveiller.
- Wach-bik ? Cheft djinn ? (Quest-ce que tu as ? tu as vu un djinn ?)
Je ne répondis rien (et pour cause !) et mavançai vers Wissam qui était assise sur
une chaise, attendant daller défiler devant les invités. Je lembrassai sur les deux
joues, faisant attention à ne pas déranger son maquillage.
immenses yeux noirs, qui brillaient de mille étoiles. Elle paraissait très heureuse.
Elle avait un sourire lumineux sur les lèvres, soigneusement maquillées. Elle continua
de me regarder longuement, sans rien dire. Il me semblait quelle voulait me dire ou
me demander quelque chose, mais que la situation ne lui permettait pas de le faire. Et
puis, au moment, où jallai quitter la salle pour la laisser aller à son défilé, elle
me dit dune voix rauque (la voix de Fadhéla !) un peu provocante :
- Comment tu me trouves ? Plus belle que Fadhéla ?
Elle savait donc ! Et elle était consciente de leffet quelle avait sur moi ! Je ne
pus me retenir de lui répondre dune voix chevrotante quelle était plus belle et que
son mari allait hériter dune superbe plante. Et que jen étais un peu jaloux ! Cela
devant son père et sa mère ! Je les regardais pour voir leffet sur eux de ma
déclaration intempestive. Je fus vite rassuré ; ils ne réagirent pas. Peut-être parce
quil ny avait pas dautres témoins queux. Je quittais la pièce et retournai vers le
groupe de copains qui continuaient de discuter bruyamment. Je restais longtemps
silencieux, presque triste. Il ny avait pourtant absolument pas de quoi : je ne
connaissais pratiquement pas Wissam ; elle était très jeune ; elle navait aucun
sentiments vis-à-vis de moi ; ni moi vis-à-vis delle. Seule son étonnante
ressemblance avec mon amour de jeunesse nous liait. Mais pendant près dune heure
encore, jétais vraiment ému. Surtout quau cours de ses défilés devant les invités,
je la revis plusieurs fois. Et toutes ces fois, elle jetait vers moi un regard que je
jugeais provoquant, moqueur et surtout interrogatif.
Je ne savais pas trop pourquoi, mais il me semblait que la fille sintéressait
beaucoup à mon jugement sur elle. Probablement sur sa beauté : est-ce que je la
trouvais belle ? Est-ce quelle était à mon goût ? Jappris plus tard, quelle avait
longuement discuté avec sa tante Fadhéla, qui lui avait beaucoup parlé de moi, le
garçon quelle naurait jamais dû quitter pour son actuel mari, qui sest avéré une
vraie catastrophe pour sa vie de femme.
flirts et la folle passion que je ressentais pour elle. Elle lui avait aussi parlé de
tout le désir quelle avait suscité en moi et dont je lui parlais sans fausse honte.
Et de lintensité érotique des flirts que nous avions eus ensemble, sans jamais
pouvoir conclure. Elle lui aurait même avoué quelle avait pensé à moi, la nuit même
où elle avait offert sa virginité à son mari. Et presque toutes les nuits suivantes,
tellement elle avait été déçue par les tristes étreintes de lhomme quelle avait
préféré à son amour. Elle ne se rappelait même pas pour quelle raison idiote, elle
navait pas eu le courage de mattendre deux ou trois années et de devenir ma femme.
/
Après la surprise de Wissam, une autre, toute aussi étonnante, mattendait cette
après-midi là. Javais toujours pensé que la vie est une longue suite de hasards. Et
ce jour-là ladage se vérifia une fois de plus. Jusque là, la fête navait concerné
que les parents et les invités de la mariée. Comme de coutume, le marié et sa famille
devaient rejoindre la fête un peu plus tard, pour sacrifier au rite, de la fatiha
(mariage religieux) de la bague, du gâteau et de la robe blanche. Quelle ne fut ma
surprise de voir débarquer sur le perron de la salle des fêtes Salah, Farida et Rayan,
accompagnés de nombreux de parents et amis. Le fiancé de Wissam, cétait donc Rayan !
Ce fut, une fois de plus, un coup de marteau sur ma tête. Non pas que jestimais avoir
un droit quelconque sur Wissam je nen avais ni la folie, ni la prétention mais
parce que je ne pouvais pas empêcher des sentiments contradictoires me traverser. Je
ne connaissais pratiquement ni lun ni lautre des nouveaux mariés. Mais les souvenirs
douloureux qui étaient remontés en moi, mavaient mis dans un véritable état de
schizophrénie. Je me revoyais, deux décennies en arrière, entrain de regarder, la rage
au cur, un homme jeune et beau comme Rayan menlever Fadhéla, comme, sil
menlevait un morceau de moi-même.
Je ne savais pas que javais gardé autant de ressentiments en moi. Jusque là javais
cru que la cicatrice avait fini, avec le temps et le long et riche parcours amoureux
qui avait été le mien, par disparaître complètement. Cétait sans compter sur les
hasards de la vie. Salah vint se joindre au groupe dans lequel jétais et me regarda
très attentivement. Salah était un homme vraiment particulier. Il savait dinstinct
quand un de ses proches avait un problème; et même quand le proche en question, niait
lexistence dun problème, il ne le croyait pas et sefforçait de le découvrir, non
pas par curiosité malsaine, mais pour laider à le solutionner. Je navais pas envie
de parler et surtout pas de lui raconter ma vie amoureuse passée. Mais lui continua de
me regarder sans rien dire avec des yeux de chien battu, jusquau moment où, énervé,
je me mis à lui raconter mon histoire et ce que jétais entrain de vivre en découvrant
le sosie de mon amour de jeunesse épouser son fils à lui.
Il rit très fort ; comme sil se moquait de moi. Il avait cru que le problème était
plus grave. Il me dit que ce nétait que mes souvenirs dantan qui étaient subitement
remontés dans ma mémoire, ramenant avec eux les sentiments de détresse qui mavaient
animé pendant cette période là. Il ajouta que demain, ou au plus tard après-demain, il
nen restera rien. Farida et lui seront toujours là pour me rendre ma joie de vivre.
Et il ajouta que je navais pas à en vouloir à Rayan qui nétait absolument pour rien
dans la situation. Il avait rencontré Wissam, dans une soirée organisée par la marine.
Elle y travaillait comme traductrice, parce que la soirée avait été organisée en
lhonneur dune délégation de marins étrangers. Ils sont tombés amoureux lun de
lautre et avaient très vite décidé de se marier. Il ajouta, énigmatique, que cétait
ce qui pouvait arriver de mieux à son fils, avant quil ne soit trop tard pour lui.
Je passai comme je pus le reste de la fête dans la salle et ne quittai les lieux
quaprès le départ du couple vers le lieu de leur nuit de noces (un grand hôtel de la
ville) et leur voyage de noces en Turquie, qui devait commencer le lendemain même. Je
retournais chez moi, et demeurai seul le reste de la journée et le lendemain. Puis
Farida mappela et me demanda de les rejoindre, Salah et elle, dans leur maison. Et
notre vie à trois reprit son petit train-train. Javais encore limage de Wissam
gravée dans ma pensée, mais elle ne mempêcha pas dêtre heureux avec Farida et son
mari. Cela dura environ trois mois. Rayan et Wissam sétait installés dans un
appartement quils avaient loué et semblaient couler le parfait amour. Cétait pour
eux le bonheur. Du moins le croyions-nous, Salah, Farida et moi.
Par deux fois, je revis le couple chez les parents de Rayan. La première fois, cétait
environs deux mois après leur mariage. Et la seconde, encore deux mois plus tard. A
chaque fois, Salah et Farida mavaient invité à participer au dîner, en compagnie de
leur fils et de leur belle-fille. Jétais devenu le grand ami de la famille et cétait
en cette qualité quils me recevaient, même pour des occasions intimes. Les deux fois,
Salah avait fait les choses comme il savait si bien le faire : une cuisine délicieuse,
accompagnée dun service digne des plus grands palaces. A chacune des fois les
nouveaux mariés essayaient de donner de leur couple une image dharmonie et de
bonheur. Mais à chaque fois, il y avait une fausse note, qui provenait de Wisssam qui
faisait une fixation sur la grossesse. Elle voulait un très rapidement.
Pourtant elle était très joviale et parlait beaucoup de tout et de rien. Elle riait
beaucoup et ses éclats de rire presque juvéniles résonnaient dans toute la maison.
(Je ne pouvais mempêcher à chaque fois de penser aux éclats de rire identiques de
Fadhéla, il y a plus de deux décennies.) Wissam, les deux fois, parlait beaucoup du
bébé quelle voulait avoir très vite. Mais il lui semblait que rien ne venait, malgré
tout ce quelle faisait pour. Elle disait toujours les choses telles quelle les
pensait. Elle ne se censurait jamais. Et ses déclarations, à lemporte pièces, avait
le don de me faire rire et dagacer Farida. Cette dernière faisait semblant den rire
et essayait de rassurer sa belle-fille, en lui disant que cétait trop tôt et quelle
avait encore beaucoup de choses à faire et à vivre, avant davoir à soccuper dun
bébé. Mais cela ne prenait pas. Wissam, faisait vraiment une fixation et revenait tout
le temps à lattaque en reparlant encore et encore de son envie ds. Cétait
comme un message de détresse quelle nous envoyait. Un besoin de nous faire comprendre
quelque chose qui nous échappait. Ou du moins qui méchappait à moi, qui navais
aucune clé pour comprendre la vraie situation.
Farida finissait par montrer son agacement, sans pourtant oser élever la voix. Elle se
levait de table, sous un prétexte ou un autre et allait senfermer un moment dans la
cuisine ou la salle de bain, le temps de se calmer. Elle revenait au bout de quelques
minutes, un sourire crispé sur les lèvres et rejouait son rôle de maîtresse de maison.
Javais aussi remarqué la gêne visible de Rayan, qui baissait la tête et faisait
semblant de soccuper de son assiette. Javais cru un moment, que Wissam voulait me
faire comprendre à moi, parce que je devais être le seul à lignorer - que dans ce
couple, cétait elle qui portait la culotte. Ce devait être pour cela quelle parlait
plus fort et plus souvent que lui et quà chaque fois cétait sa parole qui
simposait. Quand elle sadressait à lui, cétait avec gentillesse, mais on sentait
dans le ton comme dans le contenu de ses paroles, que cétait elle la patronne. Mais
en fait, mais cela je ne le sus que beaucoup plus tard, le mal était beaucoup plus
profond quune simple lutte pour le leadership dans le couple.
/
Un mois plus tard, jétais au bureau en compagnie dun client, quand Soraya, mon
assistante, mappela par linterphone pour me dire quune certaine Wissam demandait à
être reçue. Et quelle insistait vraiment. Etonné, je lui répondis de la faire
attendre un peu que je termine avec mon visiteur et que je la recevrai juste après. Je
lui avais même demandé de lui servir une boisson pour laider à patienter. Je
continuais ma réunion pendant environ une vingtaine de minutes pendant tout ce temps
là, je me demandais, ce que pouvait bien me vouloir la belle fille de Farida et
appelai Soraya pour faire entrer la visiteuse. Quand la porte de mon bureau souvrit,
je vis apparaître, à travers la porte ouverte, enrobée par la lumière crue du bureau
de Soraya, Wissam éclatante de beauté. Une belle petite déesse indienne à la peau
chocolat, au regard brillant et à la démarche chaloupée. Elle était tout de blanc
vêtue : un mignon petit tailleur en jersey ,dont la jupe sarrêtait juste au dessus de
ses magnifiques genoux ronds. Un chemisier en soie blanche translucide qui laissait
deviner les contours de ses petits seins pointus au dessus dun soutien gorge à
balconnets. Des chaussures à hauts talons, elles-mêmes de couleur blanche, qui
accentuaient la cambrure de ses reins et lobligeaient à lancer vers lavant sa petite
poitrine arrogante. Et par-dessus, elle portait un long manteau gris clair, sans
manches, complètement ouvert.
Elle était magnifique ! Mon cur se mit à battre la chamade. Encore une fois, je me
retrouvais devant limage insistante de Fadhéla, mon amour de jeunesse. Je la
regardais venir vers moi en dandinant et en me regardant droit dans les yeux, avec un
sourire provocant sur les lèvres. Je fis signe à Soraya de fermer la porte. Ce quelle
fit à contrecurs, tant je la sentais curieuse à propos de cette visite. Elle ne
connaissait pas la femme et se posait des tas de questions sur elle. Mais comme elle
me connaissait trop bien, elle devinait quil ne pouvait sagir que daffaires
scabreuses. Moi seul avec une telle plante dans mon bureau, ne pouvait signifier pour
elle que le début dune nouvelle histoire de cul.
Quant elle parcourut la moitié de la distance, je me levai de mon bureau pour aller
laccueillir. Elle pressa le pas et vint membrasser sur les joues, comme elle lavait
fait les deux fois que nous nous sommes rencontrés chez ses beaux-parents. Elle
dégageait un agréable parfum épicé. Le parfum de sa peau. Un parfum grisant et
aphrodisiaque. Un parfum que je ne connaissais que trop et qui sen alla titiller mon
bas ventre et qui fit frémir mon sexe.
- Bonjour, Rafik ! Tu es étonné de me voir dans ton bureau ? Jai quelque chose
dimportant à te demander. Mais avant dis-moi comment tu trouves mon parfum ? Cest
Fadhéla qui men a parlé. Il parait que cétait toi qui le lui avais offert la première
fois, avant quelle nen fasse son parfum préféré.
- Pourquoi essaies-tu tant de me rappeler les plus mauvais souvenirs de ma vie
dhomme ? Je tai fait, sans le savoir une crasse ou quelque chose de mal ? Si cest
le cas, je ne men rappelle pas et je te prie de me pardonner. Mais cesse de te
transformer chaque fois en Fadhéla. Fadhéla nexiste plus pour moi, depuis très
longtemps ; depuis le jour où elle a décidé de se marier avec un autre homme.
- Non tu nas rien fait de mal. Jai vu seulement ton émotion quand tu mas vue
la première fois et jai tout de suite su que cétait parce que je ressemblais
beaucoup à ma tante. Tu as pensé à moi depuis ?
- Comment ça, jai pensé à toi ? Je crois que tu es folle. Comment veux-tu que
je pense à une femme qui vient de se marier et qui plus est, a épousé le fils dun
couple damis très chers ?
- Je suis une fine mouche et je sais quand je plais à un homme. Et je te plais !
Peut-être parce que je ressemble à la femme que tu nas jamais cessé daimer et qui
ta quitté pour un autre homme qui ne tarrive pas à la cheville. Et que tu rêves de
te venger delle à travers moi. Tu veux vivre avec moi, ce que tu nas pas pu vivre
avec elle.
-
???
Je ne sus quoi répondre à cette attaque frontale. Pourtant Wissam avait tapé juste.
Sans même me lavouer, je narrêtais pas de penser à elle. A penser à son corps ! Je
faisais souvent un rêve érotique toujours le même - où elle venait prendre la place
de Fadhéla - vieille - que jessayais de débarrasser de son hideux hidjab. Elle se
retrouvait subitement toute nue et sublime, totalement offerte à mon désir et mes
envies de la prendre brutalement pour la punir de mavoir quitté. Quand je me
réveillais, je baignais toujours dans la sueur et étais essoufflé comme si javais
passé la nuit à faire lamour. Jétais toujours un peu honteux et tentais doublier le
rêve de la nuit. Et que Wissam me parlât de mon envie de me venger de Fadhéla à
travers elle, me surprit et me fit baisser la tête de honte. Comment, une femme si
jeune, pouvait-elle penser aussi juste ?
- Mais ce nest pas pour cela que je suis venue aujourdhui. De toutes les
façons je sais que je ferais de toi mon amant. Ou que ce sera toi qui feras de moi ta
maîtresse. Nous sommes toi et moi faits lun pour lautre et sommes sur la même
longueur donde en matière damour et dérotisme. Jaime le sexe et toi aussi. Tu as
seulement un petit avantage sur moi, cest que toi tu as connu beaucoup de femmes et
moi je nai connu quune moitié dhomme : Rayan. Il nest même pas capable de me faire
tomber enceinte ! Cela fait quatre mois que lon est marié et quil narrive pas à
mengrosser. Je ne lui demande même pas de me faire jouir, de me faire grimper aux
rideaux ou de me transporter au septième ciel ; il en est bien incapable. Il naime
pas assez les femmes. Mais je veux quau moins il mengrosse pour me permettre de
devenir mère. Je veux être grosse ! Je veux que mes parents et même cette sorcière de
belle-mère, me voit avec un gros ventre.
Et elle me raconta une histoire vraiment bizarre, mais qui ne pouvait quêtre vraie.
Elle maffirma que Rayan était un pédé (dans sa bouche, cétait une insulte) et quil
naimait que les hommes. En fait il naimait quun homme : un marin qui lavait
semble-t-il violé quand il était stagiaire sur un bateau et que depuis, il était
devenu sa « femme ». Une femme soumise et heureuse de lêtre. Il ne sétait marié avec
elle que dans le seul but de rompre avec cette vie dhomosexuel non assumé et de se
démontrer et de démontrer à ses parents, qui sinquiétaient de ne jamais le voir avec
des filles, quil était un homme. Un vrai. Et ce fut un vrai fiasco. Même si pour leur
nuit de noces, il avait réussi à la tirer et à la dépuceler. (Par la suite, elle me
fit la confidence, quil avait pris une de ces fameuses pilules bleues, pour pouvoir
bander et faire son devoir de mari.) Elle avait immédiatement senti, quil navait
pris avec elle aucun plaisir. La première fois, elle avait pensé que cétait normal.
Que cétait la première fois pour lui aussi. Elle déchanta très vite. Ils refirent
lamour plusieurs fois pendant leur voyage de noces en Turquie, mais elle sentait
toujours chez lui, cette répulsion pour elle. Pourtant elle laimait beaucoup et était
pleine de tendresse pour lui.
Et comme elle nétait pas femme à laisser les choses dans le flou, elle lui posa les
questions qui tuent : quest-ce qui te rebute en moi ? Pourquoi tu naimes pas faire
lamour avec moi ? Est-ce que jai quelque chose de physique ou de moral qui te
dégoute ? Ou bien est-ce que tout simplement tu naimes pas les femmes ? Après
quelques tergiversations, il finit par reconnaitre quil nétait pas attiré par les
femmes. Et quil aimait un homme avec qui il faisait lamour régulièrement quand ils
étaient à bord. Elle était tombée des nues et en voulut immédiatement à Farida, sa
belle-mère qui était au courant des goûts de son fils pour les hommes, mais qui
navait pas jugé utile de lui en parler. Je me rappelais les phrases énigmatiques de
Salah et Farida, à propos de leur fils. Cétait donc de cela quil sagissait. Il
était homosexuel non assumé et ils pensaient que le mariage allait pouvoir
arranger les choses.
/
Wissam continua de me parler delle, de son mari et aussi et surtout de Farida, sa
belle-mère, quelle semblait détester plus que tout. Elle lui en voulait de lavoir
trompée en ne lui disant pas la vérité sur les goûts sexuels de son fils. De lui avoir
fait rater sa vie de femme. Bien entendu, elle en voulait aussi à Rayan, qui avait
accepté de jouer le jeu que lui avait imposé sa mère, sans penser une seule seconde
quil faisait de son épouse une victime. Mais ladversaire principale cétait Farida.
Elle voulait lui faire payer ce quelle avait fait contre elle. Elle disait quelle
avait raté sa vie de femme en épousant une pédale, un pédé, une femme déguisée en
homme. Elle en devenait méchante, à force de lui en vouloir. Jessayais de la
raisonner en lui disant que rien nest perdu. Quelle avait toujours le choix de
divorcer. Et que cétait une bénédiction quelle sût la vérité avant quelle ne soit
enceinte. Quelle pourra toujours refaire sa vie. Quelle était tellement belle et
attirante, quelle retrouvera très vite un homme un vrai qui la rendra heureuse.
- Cet homme cest toi ! Tu es exactement lhomme quil me faut. Dabord pour me
venger de Farida ! Je sais que vous êtes amants. Pas la peine de nier, je lai
remarqué déjà la première fois que je vous ai vu ensemble. En présence de Salah son
mari. Votre comportement, les regards, les sourires complices, votre manière de vous
tenir lun près de lautre, montrent quentre vous, il y a une grande histoire damour
et de cul. Et puis, il ny a pas que la vengeance, il y a aussi que tu as tout dun
homme. Si tu plais tant à Farida, cest que tu as des capacités damant hors pair. Je
veux en profiter. Je veux moi aussi connaître la félicité entre les bras dun homme.
Sous ses coups de reins. Je suis encore pratiquement vierge. A part, que je nai plus
dhymen, je ne sais toujours pas ce que cest que dêtre la proie dun homme. Je ne
sais pas ce quest la jouissance procurée par un gros sexe dhomme. Je veux connaître
ce plaisir. Et avec toi !
- Tu es folle ! Je ne peux pas me permettre de devenir lamant de la belle-fille
de ma maîtresse. Et en plus de servir dinstrument de ta vengeance contre elle. Elle
ne mérite pas ça ! Et puis jai beaucoup trop de respect pour elle et son mari pour
accepter ta proposition. Je ne parle pas de ton mari, qui lui, mérite de porter des
cornes.
- Non seulement, il mérite, mais il sait quil sera cocu. Je lui en ai parlé et
il est daccord ! Ce quil veut lui, cest de continuer dêtre la « femme » de son
marin. Le reste lui importe peu. Même que je lui fasse un dans le dos ! Il est
prêt à le reconnaître comme son fils ou sa fille. Cela larrange ! Il pourra passer
aux yeux de la société comme un vrai homme !
- Tu exagères ! Tu ne peux pas faire ça. Bien sûr, cest ton droit de prendre un
amant ! Mais il vaut mieux te libérer par rapport à Rayan, en divorçant et ensuite
faire ce que tu veux.
- Impossible ! Jai dû me battre longuement contre ma mère pour pouvoir me
marier avec lui. Elle na jamais accepté mon choix. Elle ne voulait pas dun marin. Et
dès quelle lavait vu, elle avait eu lintuition quil nétait pas un homme pour moi.
Il lui paraissait trop beau et trop efféminé. Je ne peux pas lui dire aujourdhui
quelle avait raison. Au minimum, il faut que je tombe enceinte et que je mette au
monde un beau bébé. Après cela, je verrais bien ce quil y aura lieu de faire.
Aujourdhui, je veux un bébé. Et tu dois me le faire !
Elle disait cela avec une force de conviction communicative. La femme était belle.
Désirable ! Sensuelle ! Une vraie guerre se déroulait dans mon esprit, engourdi par
les révélations de Wissam. Dun côté, je me disais que Farida ne méritait pas que je
lui fasse une telle crasse. Et que dire de Salah ! Dun autre tout se mélangeait dans
ma tête : Fadhéla, dont javais loccasion de me venger. Wissam qui était belle et
désirable et qui certainement était un super coup au lit. Lenvie de lui faire un
et vivre avec elle sa période de grossesse. Et puis
lenvie de la tirer
quelle avait mis en moi. Elle avait réussi à me faire bander comme un âne. Je ne
voulais pas quelle sen rende compte et je restais donc assis pour cacher le devant
de mon pantalon qui formait une immense bosse impudique. Javais du mal à retenir ma
main qui voulait aller caresser ses genoux et pénétrer entre ses cuisses, couleur
miel.
La coquine sen rendait compte, mais faisait semblant de ne rien voir. Elle me
souriait toujours de manière provocante, semblant me dire, quelle nétait pas dupe de
mon état dexcitation. Mais comme elle-même nétait pas préparée à faire lamour là et
tout de suite (elle devait rentrer chez sa maman qui avait besoin delle) elle nétait
pas aussi pressée que moi.
- Je sais que si je reste dix minutes de plus dans ton bureau, tu vas sauter sur
moi et me tirer comme une brute ! Ne dis pas le contraire ! Même si tu essaie de la
cacher, je vois bien la bosse que fait ton zob sur le devant de ton pantalon. Demain,
je viendrai passer la nuit avec toi. Chez toi ! Je dois maintenant partir. Embrasse-
moi pour me donner un avant-goût de ce que tu me feras demain.
Comme un automate, je la pris dans mes bras et lui appliquai un baiser tellement
passionné et mouillé que javais failli éjaculer sur moi. Quand nous nous
séparâmes, jétais dans un tel état dexcitation, que je lui dis que jallais la
baiser immédiatement. Que je ne pouvais plus me retenir. Que jétais sûr quelle aussi
était dans le même état. Elle laissa ma main pénétrer entre ses cuisses et aller
directement entreprendre sa chatte par-dessus sa culotte. Elle se laissa faire en
gigotant et en ouvrant très largement ses cuisses pour me permettre de la branler plus
facilement. Puis elle prit le commandement de lopération et attrapa ma main pour la
faire pénétrer à lintérieur de sa culotte et pour lobliger à la masturber en force.
Elle appuya sur deux de mes doigts et les obligea à pénétrer entre ses grandes lèvres
qui dégoulinaient de jus et se branla presque toute seule avec mes doigts. Je la
laissai faire en la regardant gémir et siffler et entrer dans un monde de plaisir,
quelle découvrait avec étonnement. Elle avait ouvert très grand sa bouche pour mieux
respirer. Des mots et des phrases en sortaient presque involontairement. Javais du
mal à en saisir le sens, tellement elle ne faisait que murmurer.
- Yemma ! Ach-hal mlih ! Ach-hal hlou ! 3amri ma hassit hatchouni i-ssil hakdha
! Hadh erradjel rayeh yeqtelni ! Rani tal3a le-sma ! Bghit i-nik-ni bezzebbou !
Bghit ezzeb ! Ezzeb kbir ou khchin ! Zeb li ye3amarli souwti ! En-hes Rahi djaya !
Djaya ! Djayaaaa ! (Maman ! Comme cest bon ! Comme cest doux ! Je nai encore jamais
senti ma chatte couler comme cela ! Cet homme va me ! Je suis entrain de monter
au ciel ! Je veux quil me nique avec son zob ! Je veux un zob ! Un zob grand et gros
! Un zob qui me remplira le vagin ! Je sens que ça vient ! Ça vient ! Ça
vieeeeeeeeeent !)
Et Wissam partit dans un formidable orgasme qui sembla létonner elle-même. Elle
poussa un long cri de plaisir qui ne sarrêta quavec la fin de lorgasme. Et pendant
tout ce temps, elle me regardait avec ses yeux voilés dans lesquels je lisais un
véritable étonnement. Elle ne sattendait pas à jouir aussi intensément. Uniquement en
se masturbant avec ma main et mes doigts. Quand elle relâcha tous ses muscles, elle me
fit un sourire tellement éclatant que jen fus ému.
- Wach istena-ni ki et-nikni ta3 çah ! (quest-ce qui mattend quand tu me
niqueras pour de vrai !)
Et elle se leva dun bon, remonta sa culotte, redescendit les pans de sa jupe et remit
son manteau. Elle savait que jétais frustré de ne lavoir pas tirée et dêtre resté
sur ma faim. Elle en jubilait.
- Tu peux aller baiser cette salope de Farida pour te calmer. Profites-en, parce
que ce sera la dernière fois. A partir de demain, tu seras à moi ! Rien quà moi !
Elle me tourna le dos et partit, laissant en moi des regrets et de linquiétude. Des
regrets parce que jétais dans un état dexcitation exceptionnel. Et de linquiétude
parce que javais vraiment peur de la suite des évènements. Je savais que Wisssam ne
parlait pas dans le vide quand elle disait que je devais quitter Farida pour lui
appartenir. Il fallait absolument que je fasse quelque chose pour ne pas briser le
cur de la belle-mère de Wissam et celui de son mari qui ne méritaient pas de vivre
des mauvais moments à cause de moi et du désir que javais de tirer leur belle-fille.
Quand à mon état dexcitation exceptionnel, je ne me faisais pas de mouron. Soraya, la
fidèle Soraya était là pour calmer ma libido. Et de fait, elle la calma, à sa manière
: en me laissant lui faire tout ce qui me passa par la tête et en prenant elle-même
autant de plaisir quelle men procurait.
/
Soraya, entra dans mon bureau juste après le départ de Wisssam. Je lisais dans ses
yeux pleins de questions et dinterrogations. Elle était visiblement inquiète. Et elle
me le dit. Avec sa gentillesse habituelle.
- Quest-ce que tu peux bien faire avec une femme comme cela. Il est visible
quelle veut quelque chose dimportant de toi. Méfie-toi, elle est capable dobtenir
tout ce quelle veut. Elle a du charme et elle sait en jouer.
- Elle veut devenir ma maîtresse et remplacer Farida. Tu sais que cest sa
belle-fille ?
- Bien sûr que je sais ! Jai été invitée au mariage de son fils. Pourquoi veut-
elle devenir ta maîtresse ? Elle vient de se marier et elle a un mari jeune et beau
que beaucoup de filles lui envient.
- Il est homo !
- Ah ! Je comprends ! Mais pourquoi toi ? Il y a plein dhommes qui ne demandent
que ça. Une belle plante en manque de sexe !
- Parce quelle a un compte à régler avec Farida ! Elle lui reproche de ne pas
lui avoir dit la vérité sur les goûts sexuels de son fils. Mais laissons cette
histoire se dérouler. Nous verrons bien où elle nous mènera. Ferme la porte et viens
près de moi. La salope ma mis dans un tel état quil faut absolument que je baise. Je
vais donc te baiser toi !
- Salaud ! Tu es toujours aussi goujat avec moi ! Une autre femme te fait bander
et cest avec moi que tu veux te calmer ! Et si je disais non ?
- Impossible ! Tu aimes trop te faire tirer par moi ! Tu y as toujours pris de
plaisir ! Beaucoup de plaisir ! Allez viens, arrête tes chichis !
- Moi faire des chichis ? Approche je vais te montrer si Soraya fait des chichis
!
Soraya avait pris goût à me faire des fellations très douces au début, mais qui se
transformaient régulièrement en baises buccales torrides et douloureuses. Javais
toujours fantasmé sur sa bouche en forme de sexe féminin. Je lui avais souvent imposé
une fellation denfer, avec pénétration brutale au-delà de sa luette et de ses
amygdales. Avec le temps, elle avait fini par acquérir la technique idoine pour me
recevoir, sans avoir trop mal et sans avoir envie de vomir. Elle ouvrait la bouche le
plus largement quelle pouvait, écartait ses dents pour ne pas quelles raclent mon
manche et me fassent mal. Elle me tenait fermement par les hanches et tirait sur elles
de manière à ce que mon engin pénètre dans sa gorge, jusquà la limite de ce quelle
pouvait supporter, sans avoir trop mal et aussi sans vomir. Et quand, par sadisme,
jessayais de faire aller encore plus loin mon sexe, elle repoussait très fortement
mes hanches jusquà le faire sortir totalement de sa bouche. Avec le temps, jappris à
la laisser faire et jen avais toujours été récompensé.
Et cette après-midi là nous fîmes comme dhabitude. Javais longuement baisé sa bouche
avec tellement de plaisir que je me mis à gémir de plus en plus fort pour lui montrer
combien jadorais ce quelle me faisait. Et ce jour là, je déchargeai dans sa bouche,
sa gorge et sur tout son visage, des quantités incroyable de sperme quelle sefforça
davaler, sans en laisser séchapper une seule goutte. Elle savait que jadorais la
regarder sescrimer avec tout le foutre que je déversais sur elle et en joua pour
maintenir mon zob en état dérection maximale. Elle ramassa avec ses doigts tout le
sperme quelle avait sur les lèvres le nez, les yeux, le cou, les seins et les porta à
sa bouche pour les lécher, en me regardant par en dessous avec des yeux coquins et
moqueurs. Je continuais de bander comme un âne. Et elle savait quelle allait
maintenant en profiter. Elle avait toujours aimé la force et la puissance de mon
manche. Elle adorait lavoir dans sa chatte et dans son cul. Et ce soir-là il la
posséda ave encore plus de brutalité. Javais encore en mémoire la sensation de
douceur, détroitesse et dhumidité de la chatte de Wissam. Et cette sensation
accroissait dautant le désir que javais de pénétrer dans une chatte et de la
posséder.
La chatte de Soraya, navait plus létroitesse et la fermeté quelle avait eues dans
sa jeunesse. Mais elle était toujours moulante, brulante et palpitante et me
procurait un immense plaisir. Et en cette fin daprès-midi, je tirai ma fidèle
assistante en levrette, debout, penchée sur mon bureau. Elle soffrait à moi sans
aucune retenue, en criant son plaisir et en me remerciant du plaisir que je lui
donnais. Cétait comme si je lui rendais service en la tirant comme cela et en la
faisant jouir très fort.
- Zid nik Soraya ! Nikha bezzebek khchine ! Edjbedha bezzour ! Ewdja3ha !
Kessarelha souwetha ! Ferragh fiha ! Tala3ha fe-sma ! Ahhhhhhhhhhhh ! (Continue de
niquer Soraya ! Baise-la avec ton gros zob ! Tire-la en force ! Fais-lui mal !
Détruis-lui la chatte ! Ejacule en elle ! Amène là au ciel ! Ahhhhhhhh !)
Et la magnifique Soraya partit dans un énorme orgasme qui lui fit perdre conscience
pendant quelques secondes. Elle faillit même tomber, tant ses jambes avaient du mal à
la porter. Je la soulevai du sol et lemmenai vers le canapé à côté et la positionnai
à quatre pattes de manière à pouvoir lenculer. Elle savait ce qui lattendait et elle
se retourna pour me lancer un sourire lumineux. Un sourire qui était lui aussi un
merveilleux « merci ! ». Soraya avait toujours aimé la sodomisation. Elle en prenait
un plaisir tellement fort, quà chaque fois jen restais étonné. Etonné et heureux.
Parce que moi aussi jai toujours eu une passion particulière pour la sodomisation de
mes amantes.
- Nik Soraya melour ! Kessarelha ga3rha ! Dekhal zebekk bezzour ! Werri-li
qewatouh ! Edjbed el-gaz men ga3ri ! 3amrouh bezzel ! Ou a3tini zebbek en-lahsouh !
(Baise Soraya par derrière ! Détruis-lui son cul ! Fais entrer ton zob très fort !
Montre-moi sa puissance ! Tire du gaz de mon cul ! Remplis-le de sperme ! Et donne-moi
ton zob à lécher !)
Je ne sais pas combien de temps dura cette fin daprès-midi. Ce que je sais, quau
bout de nos ébats, Soraya et moi étions sur les rotules. Complètement lessivés. Et
heureux ! Après un long moment passé à reprendre notre souffle et nos esprits, Soraya
remit sur le tapis le problème de Wissam. Elle ne voulait pas que jentreprenne avec
elle une aventure, qui daprès elle, ne promet rien de bon.
- Tu vas certainement prendre ton pied avec elle. Elle a lair dêtre un vrai
volcan au lit. Mais je sais que tu en souffriras et que tu feras souffrir avec toi,
Farida. Elle ne mérite pas ça !
- Je sais bien ! Je vais y réfléchir cette nuit et je déciderai.
En fait de décision, je savais pertinemment quelle était déjà prise. Jallais
recevoir Wisssam demain chez moi et je passerai la nuit ave elle. Après, on verra.
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